VOYAGE GUADELOUPE & ANTILLES
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La Martinique en quelques chiffres
- Chef-lieu : FORT-DE-FRANCE (75 652 habitants)
- Population : 375 857 habitants Superficie de l’archipel 1 128 km²
- Langue Officielle : Français (84%), créole antillais
- Monnaie Locale : L’euro €, la même monnaie qu’en métropole
- Fuseau Horaire : (GMT -4 :00)
- Décalage avec Paris : 6 heures l’été & 5h l’hiver
- Prises Électriques : Type C (Européen) Indicatif téléphonique : + 596 590 (pour les fixes) & + 596 696 (pour les portables)
Travel–Score de la destination : 46/50 - Pour découvrir le détail et les autres destinations
L’indice Travel-Score calculera l’ensemble des points obtenus sur un total possible de 100 points. Il additionnera le score de cette destination (sur 50) avec la note obtenue par le programme sélectionné (sur 50 également).
Ces points obtenus vous permettront d’évaluer vos options de voyage. Ils tiennent compte à la fois de l’impact humain et environnemental de votre programme, des efforts du pays en matière de développement durable, le niveau de liberté de la population que vous allez rencontrer et la distance de votre déplacement.
La Martinique est un DROM (département et région d’Outre-mer) et une RUP (région ultrapériphérique européenne). CNI (carte nationale d’identité) nécessaire pour les ressortissants français et les européens en général. Un passeport en cours de validité est requis pour les voyageurs en provenance de pays n’appartenant pas à l’Union européenne.
Formalités d’entrées liées au Covid-19
Présentation
Voyages So-Leader vous fait voyager de manière un peu différente.
La Martinique, île des Antilles longue de 80 kilomètres du nord au sud et de 39 kilomètres à son point le plus large est un petit paradis aux paysages exceptionnels.
Températures estivales, soleil, ambiance chaleureuse caribéenne, plages de sable fin bordées d’eau aux couleurs turquoise, tout est au rendez-vous sur ce coin de paradis.
Elle est située dans l'Arc volcanique des Petites Antilles, dans la mer des Caraïbes, entre la Dominique au nord et Sainte-Lucie au sud, à environ 420 kms au nord-nord-est des côtes du Venezuela, et environ 865 kms à l'est-sud-est de la République dominicaine.
Elle se trouve à 6 739 km de la France métropolitaine. Géographie et environnement Son célèbre plus haut sommet, la Montagne Pelée, culmine à 1 397 mètres et est située au nord de l'île. Elle offre des sentiers de randonnée à couper le souffle au cœur de sa forêt tropicale. Les plages de sable blanc sont principalement situées dans la partie sud de la Martinique dont la réputation est célèbre pour ses merveilleuses anses et ses magnifiques baies. Ses eaux cristallines sont le milieu idéal pour les tortues, dauphins, étoiles de mer et autres merveilles sous-marines qu'offre la mer des Caraïbes. Île de carte postale et véritable ensorceleuse, la Martinique est bordée à la fois par l’océan Atlantique mais aussi par la mer des Caraïbes. Cette île que l’on surnomme l’île aux fleurs sait amadouer le visiteur grâce à ses merveilleux paysages qui ne cessent de faire rêver. Entre les plages de sable blanc et les richesses intérieures de l’île on y trouve le soleil et la mer, mais aussi les champs de canne à sucre, des chemins forestiers hors du temps, des villages incroyables du bout du monde et des jardins exceptionnels qui font oublier l'avancée du béton. Ses cascades, ses plages turquoise, ses jardins fleuris, ses sentiers de randonnée vous laisseront sans voix.
La Martinique surprend par ses propriétés inconciliables, notamment le sucre et le rhum, la pluie et le soleil, des bleus aux yeux et un vert tendre. Mais aussi par ses alizés et ses cyclones, par ses volcans et sa végétation fantastique. Elle surprend aussi par son histoire et sa culture liée aux souvenirs des temps glorieux et des péchés primitifs de l'esclavage. La réalité antillaise est à la fois fascinante, bouleversante et captivante. Aussi surnommée « île courage », La Martinique résiste autant aux cyclones qu’aux tremblements de terre. Après les catastrophes naturelles, cette « île courage » se remet toujours, prouvant que la Martinique est, et continuera, d’être une île pleine de vie et de joie. Ne tardez plus et envolez-vous vers ce paradis tropical ! La meilleure période pour visiter la Martinique N’oubliez pas que les Antilles c’est -6h de décalage l’été et -5h l’hiver ! Le choix du meilleur moment pour visiter les Antilles dépend de votre objectif. Si vous souhaitez vivre une expérience assez festive avec de nombreux touristes, la période des fêtes de fin d’année ou de vacances est idéale. Du mois de décembre au mois d’avril, le soleil et les températures sont au beau fixe, le temps privilégié pour une visite de l’archipel mais aussi pour évacuer lors de trekking dans des paysages fabuleux. Néanmoins, durant cette période, l’affluence des voyageurs dans les hôtels sont les raisons d’une hausse des dépenses et des coûts de consommation. Et oui… qui dit haute saison dit tourisme ! En revanche c’est durant cette période que les Antilles sont le plus festives et donc une multitude de soirées, de concerts et d’évènements sont organisés un peu partout. Mais plutôt que de cumuler les épaisseurs de tee-shirt en Europe au mois de janvier vous flirterez avec la crème solaire… ça donne plutôt envie n’est-ce pas ? Sinon pour bénéficier de coûts plus avantageux tout en évitant l’affluence de touristes le mois de mai sera le meilleur choix pour vous. En effet, le printemps est une saison parfaite pour un parfait séjour dans les Antilles. Le mois de juin quant à lui, vous satisfera si vous êtes un amoureux de la flore. Admirer les îles et sa nature en fleurs durant le printemps est une chose magique aux Antilles. Les chaleurs ne sont alors pas encore trop fortes et les sentiers abondent de fleurs multicolores. C’est d’une somptuosité pour les yeux. Enfin la dernière période de l’année qui s’étend de juillet à novembre est la moins coûteuse pour les touristes. Il s’agit de la période d’hivernage. Qualifiée de saison des pluies, les températures sont les plus élevées de l’année ainsi que la température de l’eau. Les mois d’août et de septembre sont les mois les plus à risque en termes de cyclones, par conséquent beaucoup d’établissements sont fermés. Mais pour ceux qui restent ouverts, la tarification est revue à la baisse et cela devient très intéressant pour les voyageurs sans crainte de risques de pluie, de vent ou bien de grosses chaleurs qui ont de plus petits budgets pour partir au bout du monde. Alors, tarifs imbattables et plages désertes, vous en pensez quoi ? Ne vous inquiétez pas pour la baignade, quoi qu’il arrive, les Antilles vous garantissent une température de l’eau très agréable en toute saison. Avoisinant les 29°C durant la saison humide, elle peut même dépasser les 30°C de juillet à octobre. C’est donc quelquefois plus délectable d’être dans l’eau. Et en saison sèche, il est rare que la température de l’eau descende au-dessous des 24°C. Hiver comme été, il est toujours enchanteur et agréable de se baigner dans la mer des Caraïbes.
Un peu d’histoire
2 400 av JC : Présence de traces de peuples nomades sur la Martinique
400 & 300 av JC : Premiers habitants connus de l’île, les indiens ARAWAKS d’origine vénézuélienne - activités principales des Arawaks ; la cueillette, la pêche, l’agriculture et la production de céramique décorée. 60 av JC : Première éruption de la Montagne Pelée - départ du peuple Arawak
180 : Présence des Indiens Saladoïdes originaires de la vallée de l’Orénoque
250 : Retour du peuple des Indiens Arawaks sur la Martinique
700 et 800 après JC : Présence d’un nouveau peuple, les Indiens Caraïbes d’origine amazonienne conquièrent progressivement l’île en exterminant les hommes du peuple Arawak. 1499 : L’explorateur conquistador espagnol Alonso de Ojeda découvre la Martinique.
1502 : Christophe Colomb, lors de son quatrième voyage en transatlantique, nomme l’île « La Martinique » lorsqu’il posa son pied sur l’île aux fleurs le 15 juin de cette année.
1626 : Le cardinal Richelieu fonde la Compagnie des Isles d’Amérique au nom du roi Louis XIII. 1635 : Début de la conquête de la Martinique. La ville actuelle de Saint-Pierre était la première capitale de la Martinique. 1645 : Le secret de la fabrication du sucre fût apporté par les colons juifs hollandais.
19 Juillet 1674 : Bataille du Rhum : les Hollandais surgirent en nombre en Martinique mais furent vaincus par les Français. Fin du XVII ème siècle : Opposant une puissante résistance aux Français, les Indiens furent définitivement supprimés ou chassés de la Martinique.
1685 : Colbert sort le « Code Noir » Ordonnance royale de Louis XIV touchant la police des îles de l’Amérique française expliquant « les bonnes règles et bons usages de l’esclavage » - début du commerce triangulaire « légal » » entre l’Europe, l’Afrique et les Antilles
1789 : Lors de la Révolution française en Métropole, création d’une société dite « amis des noirs ». 1794 : Abolition inefficace d’asservissement des noirs – Martinique anglaise donc cela empêcha l’abolition de l’esclavage. La Martinique fût par la suite récupérée par la France grâce au traité d’Amiens mais Napoléon y maintenu tout de même l’esclavage.
04 Mars 1848 : Abolition de l’esclavage sous l’appui et la protection de Victor Schœlcher.
1902 : Éruption de la Montagne Pelée – La capitale culturelle et économique, Saint-Pierre, fût décimée en quelques minutes par des coulées pyroclastiques.
Plus de 28 000 personnes furent tuées sur le coup.
1946 : La départementalisation.
1983 : Changement de statut pour la Martinique, elle devient une région mono départementale à part entière composée à la fois d’un conseil général et d’un conseil régional.
16 Août 2005 : Crash d’un vol charter de la compagnie colombienne West Caribbean entre le Panama et la Martinique. L’avion comptait à son bord 160 passagers dont 152 martiniquais. Il s’est écrasé à proximité du Venezuela. Cet accident d’avion a meurtri la Martinique à jamais. 2009 : Grève générale contre la vie chère ; du 05 février au 14 mars
Paiements et usages pratiques
Dans la plupart des commerces, les cartes de paiements sont acceptées, mais, comme en métropole c’est plus délicat de les utiliser dans les gîtes et les chambres d’hôtes.
Prévoyez d’avoir des espèces sur vous et prenez la précaution de répartir votre argent afin de le protéger : les vols sur les plages comme dans certaines résidences existent. Le règlement par chèque est accepté par différents établissements tels que des gîtes ou restaurants mais l’usage le plus courant reste le virement bancaire. Sur l’archipel, les distributeurs automatiques sont très nombreux et il n’y a pas de commission de retrait (maximum autorisé selon votre carte).
En revanche ils se vident parfois donc penser à prendre ses précautions en début de week-end (spécialement pendant les week-ends prolongés). Certains établissements acceptent les chèques-vacances, les chèques déjeuner et les tickets restaurants. Bonne occasion pour vous de les « écouler » les pieds dans l’eau.
En Martinique comme en France, le service est inclus dans le tarif affiché, ainsi le pourboire est facultatif. Mais si vous êtes satisfait des services des petites mains de l'hôtel ou du restaurant, vous pouvez remettre l'argent directement au serveur, à la femme de chambre, au bagagiste ou au voiturier. Le transport en Martinique Proportionnellement à sa population, la Martinique est le département français totalisant le plus grand nombre d'immatriculations. C'est la désorganisation du réseau des transports en commun qui en est la cause. Heureusement, le conseil régional développe depuis 2019 des lignes couvrant la partie nord de la Martinique avec la compagnie de bus Martinique Transport, qui s’ajoutent à celles du sud de l’île assurées par Sud Lib. Mais la faible activité du réseau le week-end, les temps d’attente pour les correspondances et le manque d’informations n’incitent pas les touristes à les utiliser. L’avion Différentes compagnies proposent des liaisons avec certaines îles des Caraïbes.
Le train
Le réseau ferroviaire martiniquais n’est pas encore développé. Le bus La Martinique est le département français qui compte le plus grand nombre d’immatriculations par rapport à sa population. La raison s’explique sans doute par le réseau de transports en communs assez limité sur l'île.
Néanmoins, si vous venez passer des vacances et que vous ne souhaitez pas louer une voiture, d'autres moyens de transport sont à votre disposition pour vos déplacements.
En fonction de votre lieu d’hébergement et des endroits où vous souhaitez vous rendre, vous pourrez opter pour le bus, les navettes maritimes, les taxis ou encore les VTC. Dans l’agglomération de Fort-de-France, pas trop de problèmes.
Le réseau de bus Mozaïk a bien étendu sa toile, englobant Schoelcher, Saint Joseph et Le Lamentin.
Le TCSP (Transport collectif en site propre) de Martinique est une ligne de bus à heut niveau de service qui relie Fort-de-France et Le Lamentin en passant notamment par l'aéroport international Aimé Césaire. Il fait partie du réseau MOZAIK. Il présente une longueur de 13,9 km et comporte 18 stations. Ses terminus de Carrère et Mahault servent de pôles d'échange multimodaux avec les autres réseaux de l'île.
La fréquence sur le tronc commun des 2 lignes est de 8 minutes en heures de pointes et 15 minutes en heures creuses. Vous pouvez retrouver tous les horaires ici : https://www.tcsptoutsavoir.com/#horaires Pour les transports interurbains, ça se complique. Il existe 2 réseaux distincts, l’un au sud, Sud-Lib, l’autre au nord, Martinique Transport. Ils sont également peu onéreux (compter environ 1,40-3 € selon la destination).
Mais attention, les bus Sud-Lib ne vont pas à la gare routière de Fort-de-France, ni même à l’aéroport.
On rejoint son réseau en prenant le bateau-navette des Vedettes Tropicales. Au débarcadère des bateaux passent en boucle et dans les 2 sens la ligne qui assure la liaison entre Les Trois-Îlets, Les Anses d’Arlet, Le Diamant et Rivière Salée ; tandis qu’une autre ligne rejoint Sainte-Luce et Le Marin. Pour Le François et Le Vauclin (à l’est, donc), il faut prendre le bus TCSP jusqu’au rond-point multimodal Carrère au Lamentin où passe la ligne BKJ.
On déplore cependant l’absence totale de bus le dimanche. Concernant le réseau nord-ouest, les navettes de Martinique Transport partent de la gare routière multimodale de la Pointe Simon à Fort-de-France. Ils fonctionnent tous les jours, même le dimanche, pour rejoindre Le Carbet et Saint-Pierre par la route côtière ainsi que Le Morne-Rouge par la route intérieure. De là, correspondance pour la côte nord-est (sauf dimanche !).
Par ailleurs, 6 nouvelles lignes de bus couvrent la partie nord-est de l’île, soit du François à Grand-Rivière. On rejoint ce réseau à la gare multimodale de Mahault au Lamentin par le TCSP au départ de Fort-de-France et de l’aéroport. Location de voiture Indispensable aux Antilles pour découvrir la richesse et la beauté des îles !
De la petite citadine à la voiture plaisir cabriolet, en passant par les SUV et Crossover de 5 à 7 places, que les véhicules soient à vitesses automatiques ou manuelles, ils répondront à vos attentes en matière de confort et de sécurité. Seul, en couple, en famille ou encore en groupe, vous trouverez forcément votre bonheur. Vous aurez aussi l’assurance de réserver un véhicule disponible le jour-J. Stratégiquement situées près des aéroports et sur des points touristiques importants, il sera très facile pour vous de récupérer votre véhicule en agence.
La voiture reste bien sûr la meilleure solution afin d’être libre de ses déplacements. Mais attention, en haute saison, il est recommandé de réserver longtemps à l’avance, à la fois pour avoir la certitude de trouver un véhicule mais aussi pour obtenir des prix doux. Location de scooters et de motos Le marché est très peu développé en Martinique. Liaisons maritimes Une seule compagnie, Vedettes Tropicales, relie la baie de Fort-de-France aux Trois-Îlets (bourg, Pointe-du-Bout, Anse-Mitan, Anse-à-l'Âne), ainsi que Case-Pilote au nord. Va-t-on enfin créer d'autres liaisons avec le Sud et ainsi désengorger un peu le trafic routier ? Pour l'heure, difficile à dire. Utilisez-les au maximum, quand ils existent, pour vous rendre dans la capitale. C’est vraiment le moyen idéal pour se déplacer quand les routes sont bloquées...
Et quel bonheur d’arriver par la mer à Fort-de-France, surtout quand on sait ce qu’on économise en temps, en nerfs et en pollution
Manger et boire
Si vous êtes amateur de Cuisine & Saveurs, alors la cuisine créole va vous en mettre plein les papilles. Les spécialités de la Martinique ne peuvent se passer des épices et des aromates qui ensoleillent et parfument chaque plat local. Les mets martiniquais flattent autant votre palais que vos yeux et les couleurs des fruits et légumes attireront votre appétit. Il s’agit de toute l’histoire de l’île au fil des siècles, entre immigration colonialisme, esclavage et traditions caribéennes. Deux types de cuisine créole existent de nos jours : Celle des restaurants qui utilisent considérablement les épices & produits exotiques locaux ou importés.
Essentiellement du poisson ; dorade coryphène, marlin, thon, espadon, vivaneau, etc.
Côté coquillage et crustacés ; la langouste, les ouassous (grosses crevettes d’eau douce), crabe, lambis, palourdes, burgots.
Plats typiques : court-bouillon, le blaff (bouillon aux œufs d’oursin et au poisson), colombo, ragoût de poulet ou de cabri, soupe locale, le boucané, le matété (plat composé de crabe, de riz et d’épices traditionnellement à pâques). Les accompagnements de ces plats sont très souvent des gratins de légume pays : igname, banane plantain, giraumon (potiron antillais). Pour les desserts : les fruits exotiques tiennent sont très présents : au sirop, confits, en gelées, compotes ou confitures ou tout simplement nature… Un vrai régal ! L’ananas, la noix de coco et la banane sont présents dans de nombreux desserts guadeloupéens. Les spécialités guadeloupéennes sucrées sont le célèbre Blanc-Manger coco (à base de noix de coco et vanille), le sorbet coco, le flan au coco, la banane flambée au rhum, ou encore le Tourment d’amour, spécialité des Saintes. Celle faite maison qui utilise les produits issus des ressources domestiques. Le meilleur moyen de découvrir cette cuisine traditionnelle et authentique est de séjourner chez l’habitant qui se fera un plaisir de vous faire goûter les bons plats créoles. Certaines spécialités typiques :
- Accras
- Bokit
- Balaous
- Dombres
- Kassav
- Chodo
- Boudin
- Calatou
- Bébélé
- Pône
- Touffé - Migan
- Pâté en pot
- Sauce-chien
- Souda
- Féroce d’avocat
Voici 5 produits emblématiques de la cuisine martiniquaise :
- Fruit à pain
- La noix de coco
- Les pâtés sucrés
- Robinson (pâtisserie traditionnelles)
- Chiquetaille de morue
TOP 5 des plages de la Martinique :
1. Anse Figuier
2. Les Salines
3. La pointe Marin
4. Anse Dufour et Anse Noire
5. Grande Anse d’Arlet
Achats
Vous pourrez lors de votre séjour, prendre le temps d’aller faire un peu de shopping afin de ramener chez vous des souvenirs de votre merveilleux voyage. Se promener parmi les senteurs des spécialités locales est une activité à part entière sur l’île. En effet, les différents marchés de la Martinique vous offrent un délicieux parfum authentique des saveurs créoles. Prenez le temps pendant vos vacances de flâner dans les plus beaux marchés de l’île, à la rencontre d’une ambiance unique !
1. Le Grand marché de Fort-de-France : ouvert du lundi au samedi de 6h à 15h.
2. Le marché aux viandes et au poisson de Canal Levassor : ouvert du lundi au samedi de 6h à 15h.
3. Le marché Parc Floral marché aux légumes situé entre le Parc Floral et la rivière Madame : ouvert du lundi au samedi de 6h à 15h. 4. Le marché touristique boulevard Ernest Desproge : du lundi au vendredi toute la journée et le samedi matin. 5. Le marché Lafcadio Hearn boulevard du Général de Gaulle : ouvert du lundi au samedi de 6h à 15h.
Culture et coutumes
La vie nocturne n’est pas de tradition aux Antilles.
Les rares boîtes de nuit, à Fort-de-France et dans les environs, sont là pour satisfaire avant tout le plaisir des jeunes citadins, auxquels se mêlent quelques irréductibles vacanciers n'arrivant pas à se faire à l'idée qu'ici on se lève et on se couche, chaque jour ou presque, avec le soleil. Les Antillais dansent surtout en famille ou entre amis à l’occasion des fêtes (les célèbres zouks). Même si la campagne peut vous sembler endormie le week-end, soyez sûr qu’il existe quelque part une fête patronale. À tour de rôle, chaque bourgade a la sienne. À la Toussaint, tous les cimetières des îles s’embrasent de bougies, en mémoire aux défunts. Moins spectaculaire mais ô combien dépaysante elle aussi, la Noël antillaise et les Chanté Nwel. Mais la fête majeure des Antilles est le carnaval. Juste le temps de se reposer et voilà le week-end de Pâques qui arrive. Fiesta garantie sur les plages et dans les hôtels.
Religions & Croyances : Les religions et croyances sont nombreuses et les micro-Églises sont ici chez elles. Pour beaucoup d’Antillais la ferveur importe plus que le chemin. Dans les villages, la messe est suivie avec conviction : femmes en coiffe, messieurs endimanchés et marmots gominés. Les chants cantiques sont chantés par tous. Les temples hindous, quant à eux, vous feront regretter Bénarès.
Le shivaïsme originel s'est corrompu au contact des chrétiens créoles. La grande fête s'appelle tout simplement Bon Dieu Cooli (le coolie, c'est l'Indien). Quatre jours de sacrifices (un mouton, un coq) et de danses rituelles en habits bariolés, qui peuvent aller jusqu'aux transes sacrées sur le tranchant d'un sabre. Les Antillais entretiennent d'ailleurs un rapport étroit avec leurs morts. Les veillées mortuaires (qui se raréfient) servent à accompagner le défunt jusqu'à sa dernière demeure, pour qu'il ne revienne pas, courroucé, tourmenter les vivants. Ils vont parfois rire et chanter. Ils vont manger et aussi boire du rhum. Avec, à chaque verre, une goutte versée à terre pour le mort.
La Sorcellerie et les superstitions : Sur cette terre marquée par les croyances africaines, on attendait les sortilèges. Même avec l'afflux de sorciers clandestins, vos chances sont minces de croiser un quimboiseur ou un séancier, l'équivalent de nos « j'teux d'sort » berrichons. Ou plutôt, vous pouvez tout à fait en croiser un mais sans le savoir.
Les Martiniquais qui ont besoin de leurs services (le plus souvent concernant l’argent et l’amour) savent où les trouver. Les recettes courantes consistent en la confection d'amulettes, de philtres, de tisanes ou de bains corporels à base d'herbes, comme le crésyl, qui éloigne le mauvais sort. Des pratiques plus noires en appellent à l'aide des morts pour éliminer un rival. Dans l’imaginaire antillais, les zombies restent toujours d’actualité. Ils ont un sens différent du vaudou haïtien et désignent divers « grands diables » qui viennent vous tourmenter, le plus souvent la nuit.
Les rites funéraires : Les Antillais entretiennent un rapport particulier avec leurs morts. Les veillées mortuaires servent à accompagner le mort jusqu’à sa dernière demeure pour qu’il ne revienne pas tourmenter les vivants. Famille et amis se réunissent pour parler du défunt, évoquer sa mémoire, raconter des histoires, terrifiantes ou drôles, jusqu’à l’aube. On va manger et, bien sûr, boire du rhum, sans oublier d’en verser une petite goutte à terre par respect pour le mort. À la Toussaint, les cimetières sont illuminés par des bougies placées autour des tombes fleuries sur lesquelles s’assoient et trinquent les familles en mémoire des morts. Vêtement traditionnel : Adieu foulards, adieu madras...
Encore un coup de canif dans la carte postale ! Tout comme la coiffe en Bretagne, le costume des doudous n'est plus porté que pour les fêtes ou le carnaval, et parfois sur les marchés pour attirer le passant en quête d’authenticité. Pour être belle, autrefois, il fallait casser sa tirelire : superbe jupon de broderie anglaise, corsage décolleté, jupe ample en madras (un tissu apporté ici par les Indiens), foulard triangulaire, grande robe chatoyante pour les fêtes, sans oublier un arsenal de bijoux en or (collier-chou, chaîne-forçat...).
Festivals et événements en Martinique
- Noël
- Nouvel An
- A partir du premier janvier, sont organisés chaque dimanche des défilés dans chacune des communes en préparation du Carnaval.
- Le carnaval en Martinique : Composé de différents personnages hauts en couleur le Carnaval est le lieu pour tourner en dérision des représentations du quotidien afin de les dénoncer. C’est aussi une manière de réactiver la mémoire collective afin de se souvenir de tous les événements que l’île a traversés.
Voyage So-Leader s'engage à voyager de manière respectueuse des populations locales, de leur culture, de leurs économies et de l'environnement. Il est important de se rappeler que ce qui peut être un comportement, une robe et une langue acceptables dans votre propre pays peuvent ne pas convenir dans un autre. S'il vous plaît gardez cela à l'esprit lors d'un voyage.
Principaux conseils de voyage responsable
1. Soyez toujours attentif et respectueux des coutumes, traditions, religion et culture de vos hôtes. Evitez de vous ingérer et prendre parti dans les affaires politiques ou sociales locales.
2. Assurez-vous que les personnes prises en photos y consentent, surtout les enfants. Engagez-vous à les protéger contre toute forme d’exploitation ou de violence sexuelle.
3. En visite chez l’habitant, ne distribuez ni cadeaux ni argent : vous n’êtes plus un « client roi » en pays conquis, mais un « simple invité » qui représente et doit faire honneur à son pays.
4. Apprenez quelques mots de la langue locale et essayez de l’utiliser, ne serait-ce que pour briser la glace !
5. Le marchandage sur les marchés doit rester bon enfant, avec calme et raison. C’est comme un jeu de rôle, qui peut être amusant ! Si le marchandage n’est pas de mise, n’insistez pas.
6. Privilégiez les productions alimentaires régionales et l’artisanat local. Les soutenir contribue au maintien des métiers traditionnels. Sauf à Pékin, évitez le « made in China »
7. Bannissez les entreprises qui exploitent ou abusent des animaux, surtout ceux menacés et n’achetez pas d'ivoire, corail ou tout autre produit issu d'animaux en voie de disparition.
8. Ne gaspillez pas l’eau ni l’énergie. Respectez les règles affichées dans les hôtels, musées, plages ou autres espaces naturels pour contribuer à préserver l’équilibre des lieux.
9. Pour des raisons environnementales, évitez d'acheter de l'eau en bouteilles plastique. Remplissez votre gourde ou une bouteille d'eau réutilisable avec de l'eau filtrée.
10. Débarrassez-vous de vos déchets et triez-les toujours soigneusement, y compris les mégots de cigarette.
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